Voici un second article traitant du tantra.
En suite à celui du mois dernier concernant la puissance du regard, cette fois nous allons vous entretenir des capacités de connexions à distance.
Connectés !
Yan : Nous nous connaissions depuis plusieurs mois et échangions parfois même par téléphone. En terme de distance, nous ne pouvions pas faire mieux puisque nous ne nous étions alors encore jamais vus en chair et en os ! En fait, nous ne nous étions découverts qu'au travers de deux ou trois photos et de quelques discussions téléphoniques. Tu possédais néanmoins un léger avantage puisque tu avais lu mes deux premiers livres (https://terrevada.com/) qui furent notre principal ciment commun.
En ce tout début d'après-midi, me promenant sur le littoral finistérien accompagné de mon chien, je reçu une puissante intuition !
Je devais prendre contact avec toi dès mon retour à domicile. Il y avait même une information précise à mon ressenti : «Une personne mal attentionnée te tourne autour».
À peine avais-je déposé mes affaires que le téléphone retentissait et tu m’appelais !
C'est ainsi que se matérialisait puissamment notre première connexion à distance... Tout du moins celle que j'avais pu conscientiser car qui sait s'il n'y en eut point d'autres auparavant sans même que je m'en rende compte ?!
Nous avons presque tous tendance à vivre tellement vite ! En fait, nos existences se font trop en mode «automatique» pour pouvoir entendre et voir tout ce qu'il nous est offert de signes et autres enseignements quotidiennement !
Néanmoins, ce fut précisément cette conversation-là qui forgea le début de nos échanges énergétiques distanciés et cette fois : en conscience !
Un des sujets que nous abordions régulièrement concernait, tout justement, le tantra et la façon dévoyée dont il était perçu sous nos latitudes...
De la sorte, d'aussi invisibles que profondes connexités se construisaient à chacun de nos échanges et je sentis graduellement monter une étrange énergie en moi entre nos appels distanciés. Ils l'étaient autant par leur fréquence (environ une fois par semaine) que par les kilomètres qui nous séparaient (autour de trois cents).
Bien évidemment leurs intervalles allaient réduisant au fur et à mesure !