Avec l’été, fleurissent des mariages dans les jardins, dans des lieux sacrés et même dans des châteaux, tel le château de Mauriac de mon ami Bernard Bistes, un illustre peintre, si plein d’amour qu’il choisit de réanimer cette incroyable demeure. Il l’enchanta pendant tant d’années de ses œuvres et de ses espiègleries. Depuis une année pleine, je suis auteur pour Présences Magazines et j’ai envie de partager quelque chose de fort avec vous.
Au moment où ce texte paraîtra, le solstice d’été sera passé. C’est une année particulière pour chacun de nous, unis en humanité face aux déserts que nous traversons et tous porteurs de joies conscientes, vécues et d’autres insoupçonnées.
Souvenons-nous de ce qui est, du merveilleux, du sublime qui ne demande qu’à pousser, qu’à s’épanouir et à se dilater en nous. Rappelons-nous que nous avons en nous des ressources inégalables nous amenant à nous dépasser, à sortir de notre coquille, à rencontrer l’autre et surtout à rencontrer notre autre.
Union magique
Aussi, en ce joli mois, j’assiste à un mariage. Marraine de cœur pour les deux époux et demoiselle d’honneur, je vais réaliser un pas de danse, répété depuis des mois pour les honorer. Pour la part de la magie, je n’ai pas besoin d’activer ma baguette. Quand l’amour est déjà là dans les profondeurs, il ne demandait qu’à s’exprimer librement et intensément, remontant à la surface aussi pour jaillir pleinement.
Je sais tous les pas qu’il a fallu réaliser pour que s’accomplisse la beauté de leur mélodie exceptionnelle et unique et pour que les deux familles et amis de part et d’autres puissent être ensemble pour célébrer de telles festivités. Réjouissons-nous car elles sont aussi pour nous. Le Sublime est là. Allons-nous aussi l’honorer et l’assumer ? Nous respecter pour Le respecter ?
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